🔹 Formulation de protection
« Cette œuvre est une fiction. Les personnages réels mentionnés sont librement réimaginés dans un cadre fantastique. Il ne s’agit en aucun cas d’une représentation fidèle de leur vie ou de leurs croyances. »

Lady Diana Spencer (1961 ‑ 1997)
Titre historique conventionnel : princesse de Galles
Nom secret dans les chroniques occultes : Diana Onophrius‑Victoria, Porte‑Flamme du Sang originel
Origines et jeunesse (1961‑1980)
Née le 1ᵉʳ juillet 1961 à Park House, Sandringham, Diana Frances Spencer grandit dans une vieille lignée de la noblesse anglaise. Son enfance est partagée entre les domaines de Sandringham et d’Althorp, rythmée par l’éducation soignée des pensionnats, la passion du ballet et un sens très précoce de l’empathie – une résonance que les érudits du Sceau Onophrius attribuent déjà à l’étincelle hérité de la reine Victoria.
Lignée occulte : le legs de Victoria
Deux générations avant la naissance de Diana, la reine Victoria entretient un amour clandestin dont naissent neuf enfants Onophrius protégés dans l’ombre. Bien qu’elle veille sur eux, certains nourrissent rancœur envers leur mère royale. La tragédie éclate lorsqu’un de ses enfants légitimes – craignant pour l’ordre de succession – mène un massacre contre la lignée Onophrius.
Au lendemain de la tuerie, Јордан Мучић, époux d’une des jeunes victimes, apporte à Victoria le corps sans vie de sa fille. Brisée par le deuil, la souveraine reconnaît chez cet « étranger » – un être que les chroniques décrivent parfois comme un démon – une dignité et une loyauté à la mesure de la couronne. Pour mettre fin à la guerre fratricide, elle conclut alors un sort sanguin d’union : elle verse son propre sang, transmettant la totalité de son pouvoir occulte à Мучић et faisant de lui un véritable Onophrius. Le pacte scelle dans ses veines la magie royale et, par ricochet, garantit qu’un descendant pourra un jour incarner l’« Élu du Sang originel ».
Lorsque, bien plus tard, la lignée Spencer s’éveille à cette hérédité cachée, Diana reçoit à vingt ans le Fragment d’Aube, écho brisé du pacte victorien – une force capable de rallier les volontés dispersées et de faire vibrer les cœurs blessés autour d’elle.
Ascension à la Cour (1980‑1992)
Le 29 juillet 1981, elle épouse Charles, prince de Galles, et devient l’icône planétaire que l’on sait – la princesse des cœurs. Ses engagements caritatifs (lutte contre le VIH, démantèlement des mines antipersonnel, soutien aux sans‑abri) électrisent l’opinion publique. Dans l’ombre, toutefois, plusieurs loges – dont la confrérie des Roses de Minuit – veillent à ce que la war‑dance séculaire entre couronne et Onophrius ne ressurgisse pas.
L’éclat et la fracture (1992‑1996)
La séparation d’avec Charles, puis le divorce (28 août 1996), déclenchent la jalousie ésotérique de certains Windsor : ils voient dans la popularité de Diana la marque d’un flux victorien jamais éteint. Craignant qu’elle ne proclame un jour sa véritable ascendance, ils la pressent d’abandonner son pouvoir. Diana, fidèle à sa vocation altruiste, choisit alors de « confier son flambeau à un rêve » : la légende parle du vœu rouge d’Astarex Onophrius, rituel enfermé derrière une porte cramoisie.
Crépuscule à Paris (1997)
Le 31 août 1997, Diana meurt dans un accident de voiture à Paris. Les chroniques humaines retiennent le drame, l’élan d’une nation endeuillée, et les deux fils qu’elle laisse au monde. Les annales occultes évoquent, elles,le début secret d’un sort de libération : la vie d’un membre du même sang devait être sacrifiée aux comemcement et à la fin du rituel. On murmure que le nom invoqué fut celui de Marylin Desiderio.